Titre : Pour en finir avec la
question juive
Auteur : Jean-Claude Grumberg
Broché : 96 pages
ISBN : 978-2-330-02350-8
Comment résister à la quatrième de couverture suivante ?
« Afin d'être aussi complet que possible, je signale – à ceux que la question continuerait à tarauder après lecture de ce présent ouvrage – qu'un professeur émérite d'Harvard a répertorié à ce jour 8612 façons de se dire juif. Ne se reconnaissant dans aucune, il a déclaré à la presse qu'il poursuivait ses recherches. Je m'associe modestement, mais de tout mon cœur, à sa quête. »
J'y ai résisté à deux reprises, au nom des piles de bouquins non lus qui traînent chez moi. Puis j'ai craqué.
Il faut lire « Pour en finir avec la question juive », cet ouvrage de Jean-Claude Grumberg, petit par la taille mais grand par le plaisir qu'il procure. Un conseil cependant : évitez les endroits peu propices à l'expression des fou-rires qui s'emparent immanquablement du lecteur.
Il faut lire « Pour en finir avec la question juive », hymne à la découverte, à la déconstruction et à la compréhension, au regard décalé. Ce petit livre grandit son lecteur.
Il faut lire « Pour en finir avec la question juive », urgemment, aujourd'hui plus que jamais. Avec des mots simples, l'auteur sépare nos besoins de sacré de la religion aussi simplement qu'on sépare le jaune du blanc d’œuf.
Il faut le lire également pour le style narratif, bref, rapide mais apaisant. Une fois entamé, impossible de le lâcher. Ça se lit vite puis on regrette que ce soit fini.
Parce que ce n'est que pur hasard si je ne suis pas juif, il me fallait en particulier lire cette histoire qui se déroule entièrement devant la porte de l'appartement d'un Juif, précisément parce qu'un de mes arrière-grand-père avait été jusqu'à ôter son nom de la sonnette du sien...
Auteur : Jean-Claude Grumberg
Broché : 96 pages
ISBN : 978-2-330-02350-8
Comment résister à la quatrième de couverture suivante ?
« Afin d'être aussi complet que possible, je signale – à ceux que la question continuerait à tarauder après lecture de ce présent ouvrage – qu'un professeur émérite d'Harvard a répertorié à ce jour 8612 façons de se dire juif. Ne se reconnaissant dans aucune, il a déclaré à la presse qu'il poursuivait ses recherches. Je m'associe modestement, mais de tout mon cœur, à sa quête. »
J'y ai résisté à deux reprises, au nom des piles de bouquins non lus qui traînent chez moi. Puis j'ai craqué.
Il faut lire « Pour en finir avec la question juive », cet ouvrage de Jean-Claude Grumberg, petit par la taille mais grand par le plaisir qu'il procure. Un conseil cependant : évitez les endroits peu propices à l'expression des fou-rires qui s'emparent immanquablement du lecteur.
Il faut lire « Pour en finir avec la question juive », hymne à la découverte, à la déconstruction et à la compréhension, au regard décalé. Ce petit livre grandit son lecteur.
Il faut lire « Pour en finir avec la question juive », urgemment, aujourd'hui plus que jamais. Avec des mots simples, l'auteur sépare nos besoins de sacré de la religion aussi simplement qu'on sépare le jaune du blanc d’œuf.
Il faut le lire également pour le style narratif, bref, rapide mais apaisant. Une fois entamé, impossible de le lâcher. Ça se lit vite puis on regrette que ce soit fini.
Parce que ce n'est que pur hasard si je ne suis pas juif, il me fallait en particulier lire cette histoire qui se déroule entièrement devant la porte de l'appartement d'un Juif, précisément parce qu'un de mes arrière-grand-père avait été jusqu'à ôter son nom de la sonnette du sien...