Bio
1er échevin à Forest en charge de l'urbanisme et des propriétés communales, de l'environnement et des espaces verts, du logement, de la mobilité, du stationnement et du Service central d’achats (marchés publics fournitures et services)
Je suis un faux théoricien. Je pratique toujours (un peu) ma formation de mathématicien en l'appliquant à des questions concrètes pour appréhender une réalité et proposer des solutions.
Politiquement, j'ai aussi l'air d'un théoricien : j'ai entamé mon premier engagement politique adolescent, il y a près de 30 ans et j'ai toujours besoin de références. Aussi, j'en élargis le champ : partant de Marx, j'ai inclus Gorz, Illich, Latouche, Lipietz puis, plus récemment, Lordon et Stiegler. Ces références m'aident à penser ce que je vois, ce que je ressens et à prendre distance pour proposer et établir un consensus qui surprend ceux qui me connaissent pour ma « radicalité » étymologique, c'est-à-dire attaquer les problèmes à leur racine.
Face à un problème concret, à une demande d'un citoyen, à des travailleurs de l'administration, toutes ces références sont, pour moi, la base d'une éthique, que je ne peux vivre QUE pratiquement.
Je travaille depuis mes 21 ans, en 1989. J'ai une longue carrière dans le privé et cela m'a appris à composer avec le réel, à faire la part des choses entre le monde tel que je le souhaite et le monde tel qu'il est.
J'ai fait mes classes du mandat politique en tant que président d'une société de logement social. Cela m'a apporté énormément. J'ai pu compter sur mon expérience de manager pour ne pas me laisser embêter par les questions liées à la pratique de la gestion d'une société. Mais j'ai surtout du apprendre à composer, tant avec mes partenaires de majorité qu'avec les demandes des plus précaires qu'avec les moments où il faut transformer le doute en une décision.
Enfin, je pense qu'il y a mille et une manière d'agir politiquement. Sous le pseudo de Jean-Claude Dargeant, j'ai écrit et réalisé l'une ou l'autre performance scéniques et je co-organise des événements/conférences internationaux sur les questions liées aux écritures numériques et à la crise financière.
Je suis un faux théoricien. Je pratique toujours (un peu) ma formation de mathématicien en l'appliquant à des questions concrètes pour appréhender une réalité et proposer des solutions.
Politiquement, j'ai aussi l'air d'un théoricien : j'ai entamé mon premier engagement politique adolescent, il y a près de 30 ans et j'ai toujours besoin de références. Aussi, j'en élargis le champ : partant de Marx, j'ai inclus Gorz, Illich, Latouche, Lipietz puis, plus récemment, Lordon et Stiegler. Ces références m'aident à penser ce que je vois, ce que je ressens et à prendre distance pour proposer et établir un consensus qui surprend ceux qui me connaissent pour ma « radicalité » étymologique, c'est-à-dire attaquer les problèmes à leur racine.
Face à un problème concret, à une demande d'un citoyen, à des travailleurs de l'administration, toutes ces références sont, pour moi, la base d'une éthique, que je ne peux vivre QUE pratiquement.
Je travaille depuis mes 21 ans, en 1989. J'ai une longue carrière dans le privé et cela m'a appris à composer avec le réel, à faire la part des choses entre le monde tel que je le souhaite et le monde tel qu'il est.
J'ai fait mes classes du mandat politique en tant que président d'une société de logement social. Cela m'a apporté énormément. J'ai pu compter sur mon expérience de manager pour ne pas me laisser embêter par les questions liées à la pratique de la gestion d'une société. Mais j'ai surtout du apprendre à composer, tant avec mes partenaires de majorité qu'avec les demandes des plus précaires qu'avec les moments où il faut transformer le doute en une décision.
Enfin, je pense qu'il y a mille et une manière d'agir politiquement. Sous le pseudo de Jean-Claude Dargeant, j'ai écrit et réalisé l'une ou l'autre performance scéniques et je co-organise des événements/conférences internationaux sur les questions liées aux écritures numériques et à la crise financière.